Chronique du jeudi #5

petite histoire :

Un jour dans un petit jardin
Un banc…
Tout simple un peu décrépit
Mais tellement charmant
Un homme seul est assis sur ce banc.

Ce square etait un peu caché de la rue
Il fallait le connaitre pour le trouver
Comme un secret bien gardé
Cela lui donnait un côté étrange et personnel

Donc cette homme, dans ce square, un jour de ciel gris
attendait…
Il attendait, le temps qui passe
Une surprise, quelque chose d’inattendue
Rien ne pointait le bout de son nez
Il commençait à être triste
Pourtant l’espoir etait là
Des idées pleins la tête

Il observait les oiseaux
Les fleurs qui coloraient la pelouse
Puis une femme passe
Elle a l’air pressée
Elle est jeune
Élégante et même intriguante
Mais rien ne se passe
Comme quoi ce n’est pas ce qu’on attend le plus qui vient sonner à la porte
Sa silouhette au loin diminue
Elle n’est plus là

Un regret, ou une promesse de la recroiser il ne sait pas
Il a presque envie de partir
Mais non il attend encore un peu…

Puis un vieux monsieur vient s’assoire sur le banc
Il commence à lui parler du temps
L’homme voit bien que le vieux monsieur à envie de parler
Il se laisse aller au bavardage
Un moment agréable s’installe
Et finalement c’est vrai bonheur cette rencontre
L’homme est content d’être resté sur le banc…..

7 réflexions sur “Chronique du jeudi #5

  1. Bon alors voila juste un petit commentaire avant de me couché,
    Bin oui ce blog sens bon la liberté…
    Il y a de jolies mots,
    De belles Images,
    Et je prendrais le temps de m’y attardé plus demain…

  2. J’ai repris un morceau de ton texte à ma maniere

    Il observait les oiseaux qui à ses pieds semblaient l’ignoré
    Les fleurs qui coloraient la pelouse ne sentaient pas assez
    Il restait sur son banc comme les hommes de pierre de Pompei
    Puis une femme passe le triste chronometre est enclenché
    Elle a l’air pressée un peu effacé il n’y peut pas grand chose
    Elle est jeune de face de coté de dos elle est d’aujourd’hui
    Élégante et même intriguante limite insolente elle lui sourit
    Son corp aurais dû se reveillé mais son coeur est encore glacé
    Sa silouhette au loin diminue puis fusionne avec une autre
    Elle n’est plus là ils ne sont plus là le chronometre est arrété…

    Ton texte m’a interpellé… j’ai pas pû m’en empéché…
    Désolé pour le coté tragique…

  3. en fait j’ai un regret, c’est trop facile d’être triste, beaucoup plus dur d’être plein d’espoir… Je la refait façon lundi de pâques :

    Il observait les oiseaux tropicaux en plein coeur de Lyon
    Les fleurs qui coloraient la pelouse étaient turquoise orange
    Il était sur son banc comme un prince dans sa belle ville
    Puis une femme passe rien de surprennant ca lui fait plaisir
    Elle a l’air pressée mais pas assez pour oublier de le saluer
    Elle est jeune elle est simple elle ne s’est pas coiffé ce matin
    Élégante et même intriguante portant un enfant en ses bras
    D’un regard simple cet homme lui communique du bonheur
    Sa silouhette au loin diminue reviens sur ses pas un peu distraite
    Comme un miracle juste pour lui proposé la fin de son croissant…

    Ton texte m’a interpellé… j’ai pas pû m’en empéché…
    Désolé pour le coté magique…

    (cette version je la dédie à tous ceux qui vive dehors)

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